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A fond les moissons !

Publié le par Bruno

Après l'orge d'hiver, c'est la moisson du blé qui bat son plein dans notre secteur et plus largement en Picardie.

Dans les champs, des nuages de poussières blanches poussaient par le vent, trahissent la présence de moissonneuses batteuses dans les vallons. Sur les routes, des norias de tracteurs et leurs remorques transportent le grain vers les silos de stockage dans un balai incessant, jusqu'au cœur de la nuit.

A fond les moissons !
A fond les moissons !
A fond les moissons !

La région Hauts de France est N° 1 sur de nombreuses productions végétales (betteraves sucrières, pommes de terre, endives, choux de Bruxelles, légumes de conserves).

Elle occupe la deuxième place sur les productions céréalières et affiche le meilleur rendement national sur le blé tendre, (à égalité) avec la région Île-de-France.

A fond les moissons !
A fond les moissons !
A fond les moissons !

Alimentation et céréales:

* 25000 baguettes de 250 grammes peuvent être fabriquées avec 1 hectare de blé tendre, soit 5,5 tonnes de farine.

* 900 000 petits-beurre peuvent être fabriqués avec 1 hectare de blé tendre.

* 140 000 verres de 25 centilitres, soit 35 000 litres de bière, peuvent être produits avec 1 hectare d'orge de brasserie.

* 13 tonnes d'aliments pour animaux sont produites grâce à 1 hectare de céréales. Ces aliments étant composés à 50 % de céréales. ( sources Intercéréales 2022)

A fond les moissons !
A fond les moissons !

Viendra ensuite le temps de la moisson du colza.

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Magnifique oiseau.

Publié le par Bruno

Observée hier matin au dessus du jardin, tournoyant haut dans le ciel, identifiée tout d'abord par son cri caractéristique, une magnifique buse variable profitant des courants ascendants nous offre un spectacle de haut vol.

Un clic sur la photo pour agrandir.

Un clic sur la photo pour agrandir.

La buse variable est un grand rapace très facilement observable. Sur les bords des routes, sur une meule de foin au milieu d’un champ, sur un piquet dans un pré… Il n'est pas compliqué d’admirer cet oiseau dans nos campagnes.

Avec sa queue aussi courte que ses ailes sont grandes (d’une envergure pouvant atteindre 1,40 m), la buse variable est un rapace de bonne taille et que l’on peut aisément observer en pleine chasse et même en train de se chamailler avec ses congénères ou d’autres chasseurs pour se nourrir.

Magnifique oiseau.

La particularité de cet oiseau est inscrite dans son nom : la variabilité de son plumage ! Si de nombreuses espèces ont des plumes dont la coloration peut varier, notamment avec des changements de saison, cette buse va bien plus loin.
En règle générale, la buse variable possède un ventre brun foncé quasiment uni, une poitrine foncée et une queue pourvue d’une large bande bien délimitée.

La variabilité de la coloration du plumage est telle qu’elle ne sert en rien à identifier l’animal. Il faudra alors observer d’autres traits morphologiques comme une queue assez courte par rapport à sa taille générale, une silhouette ramassée et de larges ailes.

Cette buse a un régime alimentaire aussi variable que son plumage. Son vol n’étant pas particulièrement rapide et ses compétences au vol n’étant pas vraiment excellentes, elle a tendance à être opportuniste et à chasser surtout à l’affût.
Très patiente (c’est dans ces moments qu’il est aisé de les observer), elle va principalement chasser les rongeurs en tous genres, mais peut aussi se sustenter de lézards, d'oiseaux et de très gros insectes, d'orvets, de batraciens... La buse variable pourra même se contenter de cadavres durant les périodes difficiles. (source: ConsoGlobe)

Publié dans Flore et faune, Nature, Photos

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Rando champêtre sous le soleil de juillet.

Publié le par Bruno

Le soleil est bien sûr un allié lorsqu’il s’agit de se motiver pour partir randonner, mais en ce moment, il chauffe un peu trop. 

Le circuit du jour sera donc plus court, il débutera par les champs, chauffés à blanc à cette heure de la journée, pour ensuite revenir à notre point de départ en longeant le Noirieu, au frais à l'ombre des grands arbres qui bordent le cours d'eau.

Rando champêtre sous le soleil de juillet.

La moisson du colza derrière la maison devrait bientôt commencer. Les siliques ou encore les gousses sont bien mûres. Tout est bien desséché, même la hampe qui les soutient. Une récolte qui s'annonce bien si le temps reste beau.

Pour les jardiniers, la graine de colza ressemble à celle du chou.
Pour les jardiniers, la graine de colza ressemble à celle du chou.
Pour les jardiniers, la graine de colza ressemble à celle du chou.
Pour les jardiniers, la graine de colza ressemble à celle du chou.
Pour les jardiniers, la graine de colza ressemble à celle du chou.

Pour les jardiniers, la graine de colza ressemble à celle du chou.

En route !

L'herbe est bien haute tout au long du chemin, heureusement pour les petites gambettes de Giulia, nous serons nombreux à prendre les relais du portage à dos et la Miss en profite bien.

Rando champêtre sous le soleil de juillet.
Rando champêtre sous le soleil de juillet.
Rando champêtre sous le soleil de juillet.
Rando champêtre sous le soleil de juillet.
Rando champêtre sous le soleil de juillet.

Bientôt la fraicheur de la rivière nous envahit. La rando devient plus agréable, malgré les orties qui viennent nous caresser les mollets et les nombreux trous (attention les chevilles) sur le sentier Robert Cassol. L'entretien des abords du cours d'eau est toujours problématique...

Rando champêtre sous le soleil de juillet.
Rando champêtre sous le soleil de juillet.
Rando champêtre sous le soleil de juillet.

Bientôt le retour et pour les plus jeunes, c'est même en courant qu'ils finiront la rando. 

Rando champêtre sous le soleil de juillet.
Rando champêtre sous le soleil de juillet.

Pendant que les retardataires arrivent tranquillement.

Rando champêtre sous le soleil de juillet.
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Les satanés thrips sont de retour.

Publié le par Bruno

C'est un minuscule insecte désagréable qui envahit nos maisons l'été, dès le début des moissons.

Champ voisin (archive 2020)

Champ voisin (archive 2020)

Les thrips de leur nom scientifique les thysanoptères, constituent parmi les insectes, un de ces ordres mineurs que l'on connaît peu, voire pas du tout, et même un " ordre oublié " tant sont peu nombreux les entomologistes qui s'intéressent à eux . Il est vrai que ces insectes sont petits (1 mm pour la plupart) et difficiles à observer, à capturer . L'été, les " bêtes d'orage " forment souvent des essaims spectaculaires au dessus des champs de blé .

Les satanés thrips sont de retour.

Ce sont de minuscules insectes noirs et fins dont les ailes sont bordées de franges (prendre une loupe pour les voir !)
Lors de journées chaudes et humides, les Thrips peuvent être très nombreux dans les airs, parfois plus de 2 millions par km2 ! On pensait autrefois que ce phénomène était lié à l’état électrique de l’atmosphère à l’approche d’un orage d’où leur surnom de « bêtes d’orage ». Mais c’est tout simplement lorsque la température est comprise entre 19 et 25 °C et que l’humidité dans l’air est comprise entre 70 et 75 % que les Thrips s’envolent. Ces « nuages » de Thrips sont dus à l’essaimage ou à des vols migratoires. Et souvent juste avant l'orage ou lorsque l'on est en période de moisson elles sont dérangées et s'éparpillent.
 

Les thrips ou bêtes d'orage: insupportables bestioles.
Les thrips ou bêtes d'orage: insupportables bestioles.

Les thrips ou bêtes d'orage: insupportables bestioles.

À ce moment, ils sont si nombreux et légers que les vents peuvent les entraîner assez loin et parfois dans des lieux habités. Dans ce cas, ils se posent où ils peuvent, souvent sur nous et on suppose que pour compenser leur déficit en eau, ils nous piquent pour essayer de s’hydrater. Disons plutôt qu’ils nous mordillent, que l’on ne risque rien mais que ça peut être désagréable. Pour éviter leur présence sur nous, on pourra essayer des crèmes répulsives. Une douche sera le meilleur moyen de s’en débarrasser. Enfin, lorsque l’on est en sueur, les Thrips ont tendance à se coller sur nous. Bref, fermer les fenêtres et faire une pause douche, sont encore les meilleures solutions, car le phénomène d’essaimage ne dure pas très longtemps !

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Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...

Publié le par Bruno

Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...

Comme chaque année, les moissonneuses-batteuses sont à l’œuvre dans les champs d'escourgeon depuis déjà quelques jours. La moisson de l'orge d'hiver se termine pour Damien. La chaleur depuis quelques semaines a conduit à une récolte plus précoce dans la plupart des régions.

Aussi, quelle bonne idée ce matin d'avoir croisé la route de la moissonneuse-batteuse de Damien.

Les enfants, (les adultes aussi) sont toujours fascinés par le spectacle créé par ces énormes machines. 

Il n'a pas fallu longtemps à Giulia et Enzo pour répondre avec enthousiasme à l'invitation. 

Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...
Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...

Quel moment sensationnel pour les loulous.

Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...
Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...
Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...
Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...

Intarissables pendant le déjeuner...

Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...
Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...
Un tour en moissonneuse-batteuse, ça vous tente les enfants...

Les vacances commencent bien... Merci Damien.

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