Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

photos anciennes

Bénédiction du nouveau coq de notre église Saint Géry.

Publié le par Bruno

La première tranche des travaux de remise en état de l'église se termine dans quelques semaines.

Le moment est venu d'installer le nouveau coq, flambant neuf au sommet du clocher avant le démontage de l'échafaudage.

Aussi, la tradition veut que le coq de l'église soit béni avant son installation.

L'abbé André LUBENDE sera présent demain, mercredi 20 mars 2024 à 14h sur le parvis de l'église pour en assurer la bénédiction à laquelle tous les habitants du village sont conviés.

L'installation définitive du coq aura lieu en fin de semaine ou au plus tard courant semaine prochaine.

Le coq est l'animal connu pour être le premier à annoncer le lever du soleil par son chant. Il symbolise la vigilance (celui qui guette la venue de l'aurore).

Le coq est l'animal connu pour être le premier à annoncer le lever du soleil par son chant. Il symbolise la vigilance (celui qui guette la venue de l'aurore).

La grande histoire de notre ancien coq.
Merci à Jean Michel Joube pour ce document qui relate une tranche de vie de notre village.

Merci à Jean Michel Joube pour ce document qui relate une tranche de vie de notre village.

Partager cet article
Repost0

Séquence souvenir.

Publié le par Bruno

Je viens de retrouver une trace photographique du viel arbre que j'ai débité dernièrement, un grand hêtre tombé en fin d'année, en face du grand portail du château. Bien sur, il était très vieux et surtout malade. La base de son tronc était pourrie en son cœur sur près de deux mètres. La dernière grosse tempête a eu raison de lui.

Un grand merci à Bernadette des Landes, pour l'envoi de cette photographie sur laquelle on y aperçoit le bel arbre, à droite de l'image  et aussi un cycliste sur son vélosolex, qui n'est d'autre que Monsieur Jean-Claude B. de la ferme du Tilloy. Les anciens se souviendront.

Pour la petite histoire, notre amie Bernadette a quitté notre beau village en 1957 et elle ne manque jamais de parcourir le blog pour prendre des nouvelles de Remaucourt et de ses habitants.

Années 60, 65 ?

Années 60, 65 ?

Séquence souvenir.
Partager cet article
Repost0

Triste constat, merci pour cet article !

Publié le par Bruno

Je viens de lire un article sur le site cynoconsult.fr, avec lequel je suis en parfaite adéquation avec son auteure, Audrey Ventura éducatrice comportementaliste de Valenciennes.

Oui c'est vrai que ça devient difficile de circuler avec son chien sans le regard accusateur des gens. On paye le fait qu'une minorité ne ramasse pas les crottes, n’éduque pas leur chien... pourtant l'humain qui pourrit son environnement par ses déchets non dégradables (mégots, masques, canettes, etc...) n'est pas autant stigmatisé... c'est triste pour nos loulous qui ont autant le droit de vivre leur vie que l'humain.

Pixelle et notre petite Giulia.
Pixelle et notre petite Giulia.

Pixelle et notre petite Giulia.

"Interdit aux chiens… Interdit aux chiens même tenus en laisse… Sur les plages, tôt le matin, dans certains parcs, en forêt, autour de certains lacs et moins souvent, dans certains restaurants et hôtels…
D’année en année, nous, qui voyageons avec notre chienne et parcourons les routes de France avec elle, faisons ce constat : elle n’est pas toujours la bienvenue. Nous avons (en plus) le mauvais goût de nous déplacer avec un berger allemand et tous ceux qui accompagnent ce type de chien savent de quoi je parle : le délit de faciès est parfois difficile à supporter. Il relève certains jours de l’héroïsme de prendre les choses avec philosophie. Quand ce n’est pas le lieu lui-même qui nous interdit de franchir la porte et nous oblige à patienter dehors, c’est le regard accusateur des gens qui nous fait clairement comprendre que nous n’avons rien à faire là avec « un chien comme ça ».
Mais je ne suis pas là pour parler de ma chienne, plutôt pour partager mes réflexions sur notre société qui ferme les yeux sur la sur-production, l’abandon, la maltraitance, qui ne réglemente la détention que pour certaines races honteusement stigmatisées mais qui paradoxalement, empêche tous ces chiens nés sur son territoire d’exister en son sein. En somme, « vous pouvez les produire, les vendre, les re-vendre, faire du trafic avec eux, les exploiter, les battre, les envoyer sur la Lune si ça vous chante ou créer du capital avec leur vie mais par contre, on ne veut pas les voir ». Et le constat empire : d’année en année le chien est de moins en moins accepté en France, pourtant l’un des pays qui le produit le plus.
« Quant à nous, les humains qui n’aimons pas les chiens et qui fusillons du regard les personnes qui nous imposent le-leur dans les lieux publics » - ou pire - « nous, les humains qui n’aimons que certaines races de chiens, adoubées et perçues comme politiquement correctes, sachez que cela nous rendra bien service quand cet animal risquera sa vie dans la police, l’armée ou les pompiers pour sauver la nôtre. Sachez que nous le trouverons aussi très utile pour détecter le covid ou nos tumeurs cancéreuses, pour nous protéger des bombes, pour nous retrouver dans une avalanche ou sous des décombres mais vraiment, par contre, ne polluez pas nos vacances en nous les mettant sous les yeux ».
Parce que oui, je précise quand même que dans ces contextes de catastrophe et de maladie où les « gens-qui-n’aiment-pas-les-chiens » seront très soulagés d’en voir un, ce sont précisément les bergers allemands, malinois, hollandais et autres « fauteurs de troubles » qui feront le job. Ceux-là même que vous ne voulez pas voir coexister dans vos parcs parce que vous estimez que « ces chiens-là n’ont rien à faire ici ».
On pourra nous accuser d’user d’un levier facile pour nous élever contre cette contradiction. Mais si c’est jugé « facile » c’est peut-être parce que c’est « un peu vrai ». Le chien des films « oui », le chien-héros « oui », mais le chien « en vrai », beaucoup moins.
À l’inverse, nous, les humains qui voyageons avec nos chiens, nous remercions sincèrement les restaurateurs et les bars, en terrasse comme en salle, qui nous accueillent parfois avec une gamelle d’eau, les logements privés qui précisent parfois dans leur annonce que nos chiens sont les bienvenus, les employés aimables croisés sur la route des vacances qui, malgré les interdictions souvent incompréhensibles font preuve de bon sens et d’indulgence, ne conseillent jamais de laisser le chien dans la voiture ou de le faire attendre seul dehors, mais aussi les gardes, sauveteurs ou animateurs qui, avec clémence, nous ont indiqué les endroits où, tout en étant interdits, nos chiens ne seront pas surveillés et donc « pas vu-pas pris », etc. bref, tous ces humains qui nous rendent les vacances un peu moins compliquées avec notre chien et surtout qui nous indiquent que oui, l’humain est encore capable de faire la part des choses et de communiquer plutôt que de tout interdire.
Enfin, il est évident que cet article légèrement « coup de gueule » ne parle pas des lieux où le chien est interdit pour des questions de préservation des espèces. Nous ne sommes pas idiots. La plupart des gens qui aiment les chiens aiment en général tous les animaux et la nature elle-même. Mais aussi, nous n’oublions pas que nous, humains respectueux accompagnés d’un chien, payons au prix fort et un peu trop souvent le tribu pour les autres, la minorité envahissante et plus visible que nous, celle qui ne respecte rien et ne sait pas lire un panneau « Merci de ramasser ».
 
Auteure Audrey Ventura, éducatrice comportementaliste de Valenciennes
Plage en Andalousie, heureuse Isis en liberté.

Plage en Andalousie, heureuse Isis en liberté.

S’approvisionner au supermarché sans laisser son chien à la maison ou attaché à l’entrée du magasin, c’est possible en Italie !

La chaîne de supermarché Conad autorise les toutous dans ses 334 magasins depuis janvier 2016. Elle a même investi dans des chariots spécialement aménagés pour leur confort. Petits et moyens gabarits peuvent être installés à l’avant du chariot et sont ainsi isolés des achats tout en étant protégés des grilles coupantes. Quant aux grands chiens, ils sont admis… en laisse !

Mi-avril 2016, c’est un magasin de Luino, dans le nord du pays qui a emboîté le pas de la chaîne Conad, grâce à son gérant. Attristé de voir les chiens attachés à l’entrée du bâtiment attendant leurs maîtres, Gianfranco Galantini  lui-même maître de plusieurs chiens a décidé de les laisser entrer et a commandé quelques-uns de ces fameux chariots. « Les animaux se comportent très bien et sont très dociles », explique-t-il au journal local Varese News (07/04/2016).

Adorable Isis au supermarché en Belgique.

Un habitant frontalier avec l'Italie témoigne:

"Si nous pouvions agir et faire évoluer cet Article 125-1 du Code de Santé Publique, cela pourrait diminuer le nombre d'abandons, de chiens morts dans les voitures, etc.

J'ai la chance d'habiter près de la frontière italienne, et nous apprécions de faire nos courses dans les supermarchés Leclerc, Conad, Coop, et même Carrefour, en compagnie de notre chien. Il s'agit d'un Yorshire de taille moyenne, et transporté dans un caddie, il sait se faire discret.

Cette autorisation est complètement entrée dans les mœurs, et a contribué à limiter les abandons de chiens. A partir du moment où cette mesure a été plutôt bien accueillie, pourquoi ne pas tenter de faire évoluer les lois au niveau Européen ?

Bravo l'Italie !

Partager cet article
Repost0

Souvenirs souvenirs ...

Publié le par Bruno

Qui se reconnaîtra ? Merci à Léopoldine pour ces deux photos d'école de Remaucourt, années 1973 et 1978.

Comme elle l'indique dans son commentaire:

" Le préfabriqué n'existait pas encore, les écoles maternelles et CP étaient au rez-de-chaussée de l'école, les cours élémentaires et moyens étaient au 1er."

" Je me souviens encore de l'escalier glissant pour descendre en récré ! "

Que sont-ils devenus ?

N'hésitez pas à vous faire connaître et à partager vos anciennes photos, si vous le souhaitez ! je me ferai un plaisir de les publier.

Pas encore d'habitation derrière la cour de récré !

Pas encore d'habitation derrière la cour de récré !

" Monsieur et Madame Proix (avec sa fille Anne dans les bras)

  • De gauche à droite au 1er rang : Bruno Proix - Patricia Hamon - Pascale Villain - Laurent Marly - (Catherine ?) - Nathalie et Sylvie Ems - Roselyne Falentin - Francis Alliot - (Hélène ?) - Hamon - Florence Boulanger.
  • 2ème rang : François Mériaux - Frédéric Villain - Laurence Ems - Gilles Alliot - Trinidad Barroso - Sylvie Spillebout - Jean-Marie Lagrange - Antonio Jurado - Frédéric Hamon - Denis Falentin - Christophe Boudu - Sophie Proix.
  • 3ème rang : Léopoldine Dufour - Christelle Boulanger - Fernando ? Barroso - Denis Falentin - .... ? - Nadine Villain - Odile Cocu - Hélène Alliot - Corinne Villain - (Bruno Bocheux ?) - Philippe Alliot.

Cette année là (1973) Elton John chantait "Goodbye Yellow Brick Road"

Lien ci-dessous.

Année 1978.

Souvenirs souvenirs ...
Souvenirs souvenirs ...

En 1978, l'ancien Beatles Paul Mac Cartney et les Wings produisaient un nouvel album :  Mull Of Kintyre

Partager cet article
Repost0

Déjà la fin des moissons dans le village.

Publié le par Bruno

Les moissonneuses-batteuses terminent leur bal saisonnier dans notre secteur.

Déjà la fin des moissons dans le village.
Déjà la fin des moissons dans le village.

Un grand nuage de poussière au loin, c'est d'abord à ça que l'on reconnait la machine dans les champs dorés.

Déjà la fin des moissons dans le village.
Déjà la fin des moissons dans le village.
Déjà la fin des moissons dans le village.

Ce travail estival agricole est devenu banal, mais que de progrès en quelques décennies, ou moisson était synonyme de dur labeur. Ci-dessous René Blot en 1958, moisson chez Eugène Boulanger au Tilloy.

Déjà la fin des moissons dans le village.
Déjà la fin des moissons dans le village.

Le tracteur a remplacé les chevaux. Ramassage des gerbes de blé avant le battage.

Déjà la fin des moissons dans le village.

Pour le plaisir des yeux...

La moisson par Pieter Brueghel (1565)

La moisson par Pieter Brueghel (1565)

Partager cet article
Repost0

1 2 3 4 5 > >>